domingo, 30 de octubre de 2011

Cuento en Francés

Haciendo limpieza de mi habitación, he encontrado un escrito en francés de cuando iba al colegio. Debía tener 13 años cuando lo escribí y recuerdo que estábamos estudiando a Edgar Allan Poe y a otros autores en clase de Literatura.

De esas clases salió este pequeño cuento. Debí inspirarme mucho en alguno de los autores que estudiamos (muchísimo, veo mucho Edgar en él), pero me ha impactado la fluidez de francés que tenía entonces. ¿Sería capaz de escribir así ahora? ¡Creo que no!

L'AMOUR EST POUR TOUJOURS


Dans l'hôpital psyquiatrique de Paris, tout était calme. Les murs étaient blancs et donnaient un aspect triste. Un groupe de malades, était entrain de discuter dans un coin. Un des nouveaux malades, pâles, l'air fatigué et triste, se leva et commença à parler:


*
J'étais un homme heureux, un homme marié, ma femme était la plus belle du monde et je ne vivais que pour elle. Mais... Un jour, ma jolie femme, s'enfuit de ma vie, elle me laissa seul, sans elle. Elle était si jeune, si délicate... J'aurais donné ma vie pour elle.
Après la douloureuse cérémonie, je m'enfermai dans ma chambre, dans notre chambre! Qui maintenant pleurait pour elle... Tout était comme elle l'avait laissé la veille... Son odeur encore flottait dans la pièce veuve, ses bijoux dormaient dans le coffret, son peigne, encore conservait les fils d'ors, qu'elle avait oublié avant de partir.
Ma vie n'avait aucun sense, je voulais mourir. La première nuit sans elle, fut la nuit la plus vide et obscure de ma vie. Je la sentais encore, mais non, elle parti pour de vrai, sans un adieu, sans un dernier baiser, elle s'était envolée pour toujours...
Les jours passaient lentement, et chaque souvenir de ma femme, était pour moi comme un épine qui transpercée mon coeur. Les jours et les nuits étaient pour moi la même chose.
Je ne voulais pas parler avec personne, je voulais être seul, avec mes souvenirs.

Une nuit de pleine lune, j'étais sur mon lit à penser à ma vie, les souvenirs m'inondaient...
Soudain, la lune se refléta dans le miroir où jadis mon Bijou se contemplait, la fênetre s'ouvrit brusquement. Mon sang se glaçait, mais alors, une lueur envahit la pièce.
J'étais émerveillé, cette lueur était si agréable à voir, elle était douce comme ma femme, douce comme le soleil en été. Oui, ma femme, je la sentais, elle était présente a cet instant. Elle venait ver moi, elle m'entourait comme autrefois... Elle était si chaude, elle restait avec moi dès ce jour.

Tout le monde disait que j'étais fou, mais moi, je savais que tout était réel, que notre amour était plus fort que la mort. Un jour, en décida de s'enfuir tous les deux, de voler librement vers un monde meilleur. On marcha loin de chez nous, là où personne ne nous trouverait jamais, là où on serait heureux pour toujours.La nuit, en regardait les étoiles, qui fesaient briller ses yeux et notre amour. Toujours je me souviendrai de ses paroles: " Mon amour, toujours on sera ensemble, on sera un seul être, une seule âme..."
Sa peau chaude, était pour moi, le soleil de la vie. Le chemin à suivre et à protéger.
On avait construit une petite maison dans la foret, dans une clairière. Là on était heureux.

Une nuit de brouillard, après une belle journée, ma protégé et moi, nous nous dirige âmes au lit.
Mon étoile s'endormit premier, et moi, je la contemplai doucement. Après je me sumergai dans un profond rêve... Le brouillard envahissait la fôret, on entendait les loups aboyer. J'étais éffrayé...Je marchai lentement, sans savoir où j'allais, pourtant, j'étais bien conscient. Quand je marchais les feuilles grinçaient sous mes pieds, le vent balançait timidement les arbres, qui dormaient profondément. Mes jambes tremblaient...
J'étais seul dans cette foret, qui apparément voulait m'absorber.
Alors, je vis ma femme. Elle était au bord d'un précipice, elle me fit signe d'y aller, et moi, j'obéis.
Elle était vêtue comme le jour de ses funérailles. ¿Porquoi? Elle était toute pâle et ses lèvres étaient mouillés d'un pourpre mortelle. Pourtant elle brillait comme un étoile, la lueur qui apparut dans ma chambre autrefois, elle était á nouveau présente.
Elle me dit aussitôt: "Frederic, mon amour, tu m'as promis d'être ensemble, de vivre ensemble éternellement. Viens mon amour... Suis moi..."
Elle était si attrayante, si sensuel et éternelle... Alor, je la suivais... Elle me regardait avec ses beaux yeux.

J'arrivai au bord du précipice, ma femme flottait dans le vide, et moi je la regardai ébloui...
"Suis moi, mon chéri...". Je repris mon souffle...
Et je me levai étourdi par ce rêve! Je regardai autour de moi... Mais j'étais dans la foret! Comment cela? Alors, désespéré, je me dirigeai en courant vers la maison, mais... Elle n'était plus là! Non plus ma femme! Tout cela avait été un rêve? Je le croyais pas...car deux jours après la cabane avait apparut.

*

Tout ces compagnons étaient émus. Il continua: " Ma famille m'a enmené ici, mais moi je suis sûr que ma femme est ressuscité. Mais, un jour, on se retrouvera et personne pourra nous séparer."





jueves, 27 de octubre de 2011

Escola d'Escriptura de l'Ateneu Barcelonès

La semana que viene empiezo el curso de Narrativa de la Escola d'Escriptura de l'Ateneu Barcelonès.
Estoy impaciente, sé que disfrutaré como una enana.

El curso de Narrativa es el primer curso de un itinerario de 3 años: le seguirá un segundo año de Novela I y un tercero de Novela II. Mi objetivo es adquirir técnica y sobretodo seguridad a la hora de escribir. Pienso que estos cursos me ayudarán a superar mi "fobia al papel en blanco" y a ponerme manos a la obra de una vez por todas.

Iniciar este curso supone un gran reto para mí. Como muchos sabéis, siempre he querido escribir. Escribir algo grande, que llegue a la gente y me libere de todas aquellas historias que llevo dentro y quieren ver la luz.

¿Tendré talento?. ¿Mis historias gustarán?.¿Mi estilo será bueno?. Son preguntas que me hago continuamente. Pero no me voy a quedar con el "y si". Estoy segura de que sacaré lo mejor de mí durante esta nueva etapa literaria que me aguarda e intentaré cumplir mi sueño. Escribir, escribir, escribir.....y LEER!

No me olvido de los libros. Sin duda, uno de mis grandes amores. Espero mantener más animado este blog a partir de ahora y poder compartir con vosotros muchas más cosas.

G.

viernes, 30 de septiembre de 2011

Escribir es un viaje

Mi viaje empieza.
Hoy cojo la pluma y me preparo para izar las velas de mi velero.

Dicen que cada cual tiene su historia y que todo está dentro del escritor. Mi tarea será sacar todo a flote. Quiero hacer caso a Proust, cuando decía que el único libro verdadero de cada escritor lo llevamos dentro de nosotros, mucho antes de escribirlo, y que por tanto nuestra tarea no es la de inventar sino la de traducir.

Me gustaría compartir con vosotros una frase de Schopenhauer: " La vida y los ensueños son hojas de un mismo libro. Su lectura de conjunto se llama vida real. Pero cuando las horas de lectura habitual (el día) terminan y las de descanso han llegado, nos dedicamos a hojear sin orden aquí y allá; a menudo tropezamos con una página ya leída;otras veces, con una desconocida; pero siempre del mismo libro."



* Recomendación: ESCRIBIR, Manual de técnicas narrativas de Enrique Páez.

lunes, 23 de mayo de 2011

Indignación de Philip Roth.











Indignación está narrada en primera persona, por Marcus Messner, judío norteamericano muerto a los 20 años en la guerra de Corea. Desde la oscuridad, Marcus recuerda su etapa de universitario durante los años 50.


En un primer momento Marcus inicia sus estudios universitarios en su ciudad natal, Newark (New Jersey). Messner es un brillante estudiante, que aspira a ser abogado. Aparentemente es un chico normal para su edad y para su época.


Al iniciar sus estudios, su padre, un carnicero judío con el que siempre se ha llevado bien, sufre un repentino cambio de conducta, y se transforma en un padre obesionado y controlador con su único hijo. Teme que se descarríe y que esto tenga consecuencias trágicas para su futuro.

Agobiado, Marcus decide marchar a Ohio y continuar sus estudios en la Universidad de Winesburg, sin la constante vigilancia de su padre. El comportamiento de su padre, hace que nazca en Marcus una apasionada indignación contra el mundo. Está indignado contra sus padres, contra sus compañeros de universidad, contra el profesorado, contra los judíos y los wasp, en definitiva, le indigna todo lo que está a su alrededor. Se convierte en un chico antisocial, insufrible, destestable y misántropo, preocupado exclusivamente por sus estudios y por el miedo de acabar en una trinchera de la Guerra de Corea.

Algo de razón tiene el padre de Marcus en que las elecciones más triviales, fortuitas e incluso cómicas obtienen el resultado más proprocionado.



G.







viernes, 29 de abril de 2011

Norwegian Wood


" I once had a girl or should i say she once had me, she showed me her room isn't it good norwegian wood? " Con esta canción de los Beatles, empieza el libro de Tokio Blues (Norwegian Wood) de Haruki Murakami. La literatura japonesa era una gran desconocida para mí hasta que hace unos meses una amiga me recomendó que leyera a Murakami. ¿Haruki Murakami? Seguro que os suena. Ganador del Premio Internacional Cataluña 2011 que ofrece la Generalitat, últimamente está en boca de todos.

Tokio Blues simplemente me cautivó para siempre, así como la prosa de su autor. Después de leer la última página de esta novela, decidí conocer más a fondo a este escritor y me animé a leer toda su obra. Nunca antes había leído dos libros seguidos del mismo autor, y a día de hoy ya llevo unos cuantos de Murakami sin "empacharme". No deja de sorprenderme.

Tokio Blues se publicó enb 1987, el mismo año en que nací. La acción se desarrolla en Tokio y tiene como telón de fondo las revueltas estudiantiles de finales de los años 60. A través de los recuerdos de Watanabe, el protagonista, nos adentramos en un turbulento triángulo amoroso.
La canción de los Beatles "Norwegian Wood", hace que Watanabe se acuerde de Naoko, su amor de juventud, y novia de su mejor amigo que se suicidó durante su adolescencia. Naoko es una chica especial con una frágil salud mental, y a causa de esto ha de ingresar en un centro de reposo. Durante este proceso, Watanabe conoce a Midori, una chica risueña y totalmente opuesta a Naoko. La historia gira en torno al sentimiento de pérdida, el amor, la soledad, el sexo y la música. Estos ingredientes y la magia de Murakami hacen que sea un libro maravilloso, del que no puedes desengancharte desde la primera página.

Si no os animáis a leer este libro, siempre podéis ir a ver la película Tokio Blues Norwegian Wood del franco-vietnamita Anh Hung Tran, que se estrena hoy mismo en algunos cines catalanes. Estoy deseando verla, espero que sea una buena adaptación y me deje con la misma sonrisa que el libro. Pero no seáis tontos y empezad por el libro!

G.

jueves, 28 de abril de 2011

Au pays des livres

Después de darle muchas vueltas, he decidido abrir mi blog sobre literatura y crítica literaria.
Desde muy pequeñita mis pasiones han sido leer y escribir, sobretodo leer.
Vivo enganchada a los libros, devoro uno tras otro y me gustaría compartir todo lo que leo con vosotros e invitaros así a querer a los libros como yo lo hago.
Leer siempre ha sido para mí una manera de conocer y de pensar, a través de los libros he recorrido mundos que nunca hubiera podido conocer sin ellos.

En este blog hablaré de literatura, de libros que me han marcado y recomiendo, de escritores apasionantes, y sobre el acto de leer y de escribir.

G.